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Fujifilm X-H1 : Secrets de développement de l’hybride PRO

Fujifilm X-H1 secrets

Table des matières

Avant le test du Fujifilm X-H1, je reviens sur la série d’informations données par Fujifilm concernant son développement. On va notamment voir:

– Comment le chassis de l’appareil photo est plus épais et pourquoi
– Comment est géré la dissipation thermique
– Comment la tropicalisation a été travaillée
– Comment ETERNA fonctionne et si c’est adaptée à la photo
– Mise au point Autofocus par phase
– Capteur stabilisé (IBIS)

Vous pouvez retrouver la présentation complète du X-H1

La vidéo « Secret de développement »

→ Cliquez ci-dessous pour démarrer la lecture de la vidéo :

Le script de la vidéo « X-H1 : Secret »

→ Attention, je vous aide en vidéo et le texte ci-dessous n’a pas vocation a être lu car il a été généré automatiquement. Intéressez-vous plutôt à la vidéo ci-dessus donc 🙂

Aujourd’hui, on va parler un peu du X-H1. Alors, ce n’est pas encore l’heure de parler de mes essais et de mes tests. Mais aujourd’hui, on va parler des secrets de développement du X-H1. Alors, ce sont des informations qui ont été postées par Fujifilm sur leur propre blog en anglais que je vais partager avec vous.

Je n’ai pas voulu une vidéo par épisode, il y en a sept épisodes aujourd’hui qu’ils ont publié. On va faire un résumé des sept épisodes pour que tout le monde puisse savoir après qu’est-ce qu’ils ont dit. Si vous n’avez pas vu passer, ce sera l’occasion de voir cela en réel.

On va aller sur l’ordinateur parce que cela se passe sur leur site internet, donc je vais vous traduire en même temps. Je vais montrer les images ensuite on terminera par une petite vidéo. Alors tout cela, ce sont des données promotionnelles, des données marketing. C’est toujours intéressant de savoir comment communique Fujifilm et sur quel point ils insistent pour présenter leur nouveau produit.

Cela se passe sur le blog anglais de Fujifilm. Alors clairement, c’est story development, comme cela, c’est les histoires de développement. Ils font cela régulièrement lorsqu’ils sortent une grande nouveauté, pour partager un peu quelles ont été les difficultés pour le développer, pour insister sur certains points sur lequel ils veulent communiquer.

Donc clairement ici, ils ont envie de communiquer dans ce premier épisode sur le fait que le corps, donc tout le châssis de l’appareil photo a en fait demandé beaucoup d’efforts et beaucoup de travail.

Ici, ils sont clairement en train d’expliquer que oui, c’est sûr que quand le nouveau modèle sort, on va mettre l’accent en général sur parler des qualités du capteur, des qualités du stabilisateur IBIS et tout cela, mais qu’on va parler assez peu du châssis que pourtant le châssis est un des éléments sur lequel ils ont vraiment beaucoup travaillé pour redévelopper cet appareil photo.

Ici en l’occurrence, ils voulaient que cet appareil photo soit beaucoup plus résistant que les anciens modèles. Clairement, vous allez voir dans les prochains épisodes, mais ils ont vraiment insisté sur le fait qu’on a l’impression que presque en lisant tout cela, que le X-T2 était toujours pour le grand public et ce X-H1 est vraiment l’appareil photo pour pouvoir résister à tout l’appareil photo des professionnels.

Ici clairement, le point sur lequel ils insistent est le fait que le châssis est 125 % plus épais pour le X-H1 par rapport au X-T2. Clairement en fait comme c’est de la 3d, à partir du moment où vous êtes 25 % plus à la fois 25 % X 25 %. À la fin, on est deux fois plus épais. Donc tout cela, cela permet d’avoir une force de résistance qui est deux fois plus importante que sur le X-T2.

Alors, on pourrait se poser la question finalement à quoi cela sert d’être deux fois plus résistant puisque personnellement, même quand on met 100-400 sur mon X-T2, je n’ai jamais eu le moindre problème. Je n’avais pas spécialement besoin d’être plus résistant, mais Fujifilm explique qu’ils avaient prévu déjà d’être plus lourds. Donc, le fait de mettre toute la partie IBIS à l’intérieur de cet appareil photo, ils avaient besoin de quelque chose qui était beaucoup plus costaud.

Ensuite, ils ont en perspective d’avoir des objectifs beaucoup plus lourde. Et ici en l’occurrence, ils expliquent que sur la monture, ils veulent maintenant que la monture puisse être capable de supporter des objectifs qui pèsent plus de 2 kg. Alors, quand on regarde la gamme, clairement aujourd’hui, il n’y a aucun objectif qui pèse 2 kg. Mais quand on regarde la photo qu’ils mettent juste en bas, ils parlent du XF200 mm f2 qui n’est pas encore sorti et qui devrait sortir en fin d’année, d’après ce qu’ils disent ici.

Bon, cela pose un peu la question même de savoir comment le X-T2 va pouvoir supporter ce XF22 ou est-ce que ce XF200 mm sera réservé au X-H1. Mais en tout cas, ils expliquent clairement que tout cela le but, c’était d’être capable de soutenir des objectifs qui ont un impact énorme sur le châssis en entier, autant en parlant du XF200 mm f2. Est-ce que Fujifilm a encore d’autres objectifs qu’ils ont en cours de développement qui fait partie de cette gamme-là, je ne sais pas.

Allez, on passe au deuxième. Le deuxième concerne aussi le châssis et cette fois-ci, ils expliquent que le châssis, il a dû être renforcée notamment aussi pour pouvoir installer l’unité de stabilisation de l’image qui est IBIS. Donc pour eux, cela a été un challenge et leur top priorité c’était la qualité des images. Donc clairement, ils n’étaient pas prêts du tout à faire un compromis par rapport à la qualité des images et que c’est pour cela qu’ils ont dû utiliser un châssis aussi épais, notamment plus gros que ce qu’on avait avant sur le X-T2.

Alors, ils expliquent grosso modo, comment cela fonctionne ? Moi, je ne trouve pas cela plus intéressant que cela. Donc, on va passer vite. Mais grosso modo, il y a une grosse plaque rigide qui va venir tenir le capteur. Mais qu’un des problèmes qu’ils ont rencontrés en fait c’était qu’à partir du moment où le capteur, il est mobile, il faut imaginer que lorsque cela vibre à l’intérieur, cela fait vibrer le capteur, en fait. Chose qui n’existe pas quand le capteur est complètement fixe et fixé au châssis.

Donc, il y a deux types de vibrations qui viennent de l’intérieur. Il y a les vibrations qui sont dues aux chocs du miroir qui se relève et qui se rebaisse, choc qui n’existe pas évidemment sur les hybrides ; et chocs dus aux rideaux de l’obturateur qui descend et qui claque. Vous savez les claque-claque quand on prend une photo.

Du coup, ils ont cherché une solution pour venir réduire l’impact que pouvait avoir le choc du rideau sur le capteur. Du coup, ils ont complètement redésigné ce rideau-là. Et une des solutions qu’ils ont trouvées pour surmonter ce problème-là, c’est de mettre le rideau sur ressort en fait. C’est-à-dire que toute la partie obturateur en fait, elle est complètement suspendue à cinq ressorts. On les voit ici sur l’image, il y en a deux en haut et trois en bas.

En fait, le fait de faire ce dispositif-là, ils ont intégré un absorbateur de choc pour justement venir complètement diminuer ce choc et donc pour venir avoir des efforts conjoints. C’est-à-dire que d’un côté, on a la stabilisation du capteur, mais de l’autre côté, on essaye aussi de diminuer toutes les vibrations qui pourraient être produites par le rideau de l’obturateur. Clairement, apparemment, cela se voit beaucoup sur la qualité de l’image ressentie. Alors, il va falloir les croire, c’est du marketing. Mais en tout cas, on peut voir que Fujifilm a travaillé sur ce point-là qui leur semblait très important.

Le dernier point sur lequel ils parlent, c’est la dissipation thermique. Le X-H1 est capable de filmer 1,5 fois plus longtemps que le X-T2. Et clairement quand on est en train de shooter en 4k, cela requérait beaucoup de puissance processeur et donc, cela chauffe. C’est donc pour cela qu’à la base, il y a un limitateur donc qui pose la question : comment le X-H1 arrive à filmer comme cela plus longtemps que le X-T2 ?

En fait, ils expliquent qu’ils ont tout un processus pour évacuer l’air chaud beaucoup plus rapidement que ce qu’il y avait sur le X-T1. Donc, il y a tout un process d’ingénierie qui a été mis en place dans le X-H1 que n’avait du tout le X-T2 pour vraiment contrôler la température et dissiper tout de suite la chaleur.

Le troisième épisode, il est encore sur le châssis, mais cette fois-ci, il est orienté sur la tropicalisation. C’est un épisode où Fujifilm explique qu’actuellement ils ont sur le X-H1 65 joints pour assurer la tropicalisation. Là où sur le X-Pro2, il y en a 61 et sur le X-T2, il y en a 63. Donc, on voit que c’est un tout petit peu plus, à peu près 10 %. Pour eux, ils disent que le X-H1 a plus de boutons que le X-T2 et que cela a été un challenge d’arriver à atteindre cette performance.

Alors ici, ils vont vraiment mettre l’accent sur le fait que ce X-H1 a été designé pour résister à n’importe quel type de température. Officiellement, ils expliquent que c’est –10 en spécification, mais que lorsqu’eux, ils l’ont testé, ils l’ont testé à bien moins que –10.

Ils ont vérifié qu’avec le vent, cela ne posait pas de problème et surtout, ils expliquent qu’ils ont designé l’appareil dans leur usine et qu’ensuite par contre, ils ont confié l’appareil à des photographes auxquels ils ont demandé de leur faire subir toutes les conditions les pires du monde, de l’amener dans le désert, de l’amener dans le ciel, de l’amener dans des rivières, de l’amener dans des montagnes enneigées, dans des montagnes où il fait trop chaud, etc.

Donc a priori, il faut chercher. Ils disent de chercher sur YouTube les mots-clés Proud of X-H1 qui sont un peu les mots clés qui ont été imposés aux photographes en question pour pouvoir témoigner en fait qu’ils ont réussi à subvenir à n’importe quelles conditions.

Cela vient encore une fois appuyé le fait que c’est une caméra pour laquelle ils essaient vraiment d’expliquer aux professionnels que cette caméra, elle est faite pour eux. Que maintenant quand on a besoin d’une tropicalisation vraiment très sérieuse, on n’a pas besoin d’aller chez Nikon, chez Canon et chez Sony, que Fujifilm peut être aussi une alternative.

Il termine en disant que, tout cela a été aussi utile en studio puisqu’en studio quand on fait des tests, aussi bien avec de l’eau qu’avec de la poussière, clairement on bénéficie énormément de la tropicalisation. En studio aussi, ils remontrent des exemples, vous voyez avec des chocs, des trucs qui explosent, avec plein de poussière que le X-H1, il est vraiment fait pour cela.

Enfin cet épisode-là, ils terminent en disant que le revêtement qui est sur le boîtier, ce n’est pas du tout le même que sur le X-T2. Ils ont vraiment changé cela de façon à le rendre plus durable et plus résistant aux rayures. Alors, c’est vrai que quand on l’a entre les mains, on se rend compte que c’est un peu différent. Moi, je le trouve plus grossier. Je trouve que je préférais personnellement le revêtement qu’il y avait sur le X-T2 qui avait un grain qui était plus fin. Je trouvais cela plus joli, mais bon c’est comme cela.

Donc là, ils expliquent comment c’est fait. Ils expliquent que grosso modo, il est deux fois plus résistant aux rayures, et grosso modo il est deux fois plus solide, plus robuste. Donc là aussi sur leurs vêtements, ils ont travaillé pour avoir une caméra qui était plus durable, qui n’allait vraiment pas bouger dans le temps.

L’épisode numéro quatre et numéro cinq, ils sont centrés sur ETERNA. Alors, ce n’est pas spécialement ce qui m’intéresse le plus, mais ils expliquent qu’ETERNA, c’est une simulation de film pour la vidéo. C’est vraiment le point qui ressort le plus de toute série d’informations.

C’est que clairement pour eux la différence entre une vidéo et une photo, c’est que sur une photo, on a besoin de couleurs, etc. parce qu’on a que la photo, elle ne bouge pas ; et que sur le film, on peut véhiculer différentes informations puisqu’on a une série d’images qui va venir créer un ensemble en fait et que c’est beaucoup moins important sur une production en vidéo d’avoir des couleurs saturées que cela ne l’est en photo.

Du coup ETERNA, ils expliquent comment elle est faite. Grosse modo, elle est faite tout simplement pour avoir des couleurs, un peu decontrastés pour avoir des ombres douces, pour avoir une bonne dynamique, etc. En fait, c’est pour pouvoir derrière jouer avec les couleurs. Donc une dynamique qui est à peu près de 12 stops, des hautes lumières et des ombres qui sont à la fois assez doux tous les deux. Ils disent que la différence, elle est vraiment évidente entre filmer avec du Provia et filmer avec de l’ETERNA.

Donc voilà, on voit les courbes de tonalité. Ensuite, ils expliquent qu’en termes de couleurs, quand on filme avec du ETERNA, il y a une reproduction des couleurs qui est un peu différente. Donc, ils expliquent en l’occurrence qu’au niveau des bleus, ils ajoutent une touche de magenta pour reproduire une impression de ciel bleu vraiment profond. Ils expliquent aussi qu’une touche de magenta a été ajoutée aussi au bleu pour avoir ce cinéma, ce look cinéma, etc. On s’aperçoit que c’est vraiment une simulation qui est faite pour la vidéo.

Justement, la question qu’ils posent à l’épisode numéro cinq, c’est finalement : est-ce que ETERNA peut être utilisé pour la photo ? La réponse est plutôt non, en fait. C’est-à-dire que la réponse qu’ils font est : « c’est possible. Cela peut marcher dans certains cas. » Donc clairement, cela veut dire plutôt non, en fait.

Ils expliquent qu’ETERNA, c’est ce que je vous disais, c’est très désaturé comme couleur et des tonalités plutôt douces. Ils nous montrent un tableau sur lequel ils mettent chaque simulation de film. Donc cela aussi, c’est très intéressant. Vous voyez, Provia est la plus balancée. C’est elle qui est au milieu. Et on s’aperçoit ensuite où se trouvent les différentes tonalités.

Donc, on voit qu’Astia qui est pas mal pour des sujets humains, on est plutôt sur des tonalités softs, tandis que le Classic Chrome ici, il est plutôt en couleur désaturée. Le Velvia, on voit est en couleur saturée avec des contrastes très forts. ETERNA ne rentre même pas dans cette grille, en fait parce qu’ETERNA, il est encore plus désaturé que tous les autres et il est encore plus doux que tous les autres. C’est-à-dire qu’il y a très peu de contrats et très peu de couleurs.

Il est vraiment là ensuite pour être modifié en postproduction, en fait ETERNA. Donc, le plus proche d’ETERNA, c’est le ProNeg standard. Alors, ils disent qu’effectivement, on peut trouver des photos dans des cas un peu particuliers et ils montrent principalement des couchers et deux levers de soleil finalement où le fait d’avoir des tons magenta, des tons cyan, on peut avoir des looks plutôt sympa.

Pour autant, grosso modo, la réponse c’est qu’ETERNA n’a pas été fait du tout pour les photos. Il a été fait vraiment pour les vidéos. Donc, ils montrent des idées de comment on pourrait les utiliser, mais ce n’est pas du tout l’objet. Quand ils ont développé ETERNA, ce n’était pas du tout fait pour la photo.

Ensuite, ils parlent de l’autofocus. Alors sur l’autofocus, ils expliquent qu’ils ont fait énormément d’efforts au fil des années, que la R&D a énormément de travail, qu’on est toujours sur le même matériel que sur le X-T2. Donc clairement, on est sur le logiciel. C’est pour cela que peut-être que tout cela, cela peut arriver sur le X-T2. Je pense que d’ici six mois, ce ne serait pas étonnant qu’ils mettent cela sur le X-T2.

Alors, on est toujours comme avant. Il n’y a rien qui a changé. On est toujours en 325 points ou 169 points en détection de phase. Alors, on ne va pas faire toute la démonstration technique parce que franchement c’est un peu pénible. Mais grosso modo, ils expliquent qu’il y a trois moyens pour venir lire un collimateur et pour venir arriver à faire la mise au point.

Il y a une comparaison horizontale, une comparaison verticale et une comparaison des carrés et qu’en fait chaque collimateur est divisé en un certain nombre de points avec un centre et des côtés, qu’il y a des partis qui se chevauchent et qu’il y a beaucoup de calculs qui sont faits par le processeur pour arriver à déterminer quel est le meilleur autofocus.

Ici, ce qu’ils expliquent, c’est qu’avant ils faisaient d’abord l’horizontale, ensuite la verticale, ensuite le square pour arriver à faire la mise au point et que maintenant ils font les trois en même temps. Ils ont réussi à faire marcher autofocus en allant beaucoup plus vite puisqu’au lieu d’être séquentiel, c’est simultané.

Dans le X-H1, ils arrivent complètement à faire cela. En fait, cela ne permet pas du tout d’être plus rapide. Au début, on pourrait penser que l’objectif c’était d’être plus rapide, en fait non. Ils expliquent que l’objectif, ce n’est pas du tout d’être plus rapide, l’objectif c’est que la détection de phase soit possible dans des conditions où elle n’était pas avant.

Donc clairement, il y a trois conditions. Elle va être possible de +0,25 jusqu’à –1EV. Elle va être possible à partir de F11 alors qu’avant c’était F8. Elle va être possible aussi pour tout ce qui est des images Low-key ou High-key.

Ils disent très clairement, on a précisé précisément que la vitesse de l’autofocus ne serait pas plus rapide que celui du X-T2. Ce qu’ils ont essayé de faire avec le X-H1, c’est d’étendre la zone à partir de laquelle ils sont capables d’utiliser la détection de phase. Ils disent que tous les photographes qui aujourd’hui disent en testant le X-H1 que l’autofocus est plus rapide, en fait non.

Il n’est pas plus rapide. C’est juste que là où avant, il était en train d’utiliser de la détection de contraste, aujourd’hui il peut utiliser la détection de phase et que donc on a la sensation qu’il est plus rapide. Mais en fait, ce n’est pas facile à savoir puisqu’on ne sait pas trop quand il est en corrélation de phase et quand il est en détection de contraste.

Donc du coup, la sensation qu’on a au final, c’est oui, c’est plus rapide. En fait, c’est plus rapide dans certaines conditions où c’était plus difficile avant pour l’autofocus d’arriver à faire une mise au point.

Enfin la dernière histoire, il concerne évidemment IBIS. IBIS si vous ne savez pas, cela veut dire In-Body Image Stabilization, cela veut dire capteur stabilisé tout simplement. Alors ici, ils expliquent comment fonctionne IBIS. C’est tout simplement un capteur qui est sur une plaque et le capteur est capable de s’ajuster à tous les mouvements qui sont détectés.

Fujifilm explique comment ce capteur fonctionne. On ne va pas rentrer dans les détails, c’est assez compliqué. Franchement même en y passant du temps, je n’ai pas compris grand-chose. Grosso modo, ils expliquent qu’ils ont fait du mieux qu’ils ont pu et que grosso modo, le matériel qu’ils ont mis ici, il fait à peu près deux fois mieux que n’importe quel capteur stabilisé en APS-C.

Ils expliquent que cette stabilisation-là est deux fois meilleure que n’importe quelle autre stabilisation et qu’en fait c’est dû à une erreur de développement. C’est-à-dire qu’au moment où ils ont développé cela en usine, quand ils ont mis le X-H1 en fait, ils ont doublé la vitesse du générateur de vibration et qu’en fait ils ont basé leur développement sur quelque chose qui était faux, qui faisait deux fois trop de vibrations et qu’à la fin, ils sont arrivés à résoudre ce challenge alors que n’importe quel autre appareil photo du marché échouait à produire des images nettes. Bon, c’est eux qui le disent, mais en tout cas eux, ils disent qu’ils sont deux fois plus performants que n’importe quelle caméra et que c’est dû à une erreur de développement.

On va terminer en regardant une petite vidéo de trois minutes sur la stabilisation Fujifilm, peut-être que vous ne l’avez pas vu. Alors, elle est sous-titrée en anglais, mais clairement c’est une vidéo qui est basée sur la stabilisation Fujifilm. Alors, on voit qu’elle est stabilisée sur tous les axes, selon les axes de rotation possibles et imaginables. Elle sait tout faire.

Donc, ils nous expliquent que tout est contrôlé. Encore une fois, il y a cette notion de deux fois plus rapidement que les autres. Donc, c’est contrôlé deux fois plus que les autres, c’est deux fois plus précis. On voit les mots marketing qui reviennent. On voit bien que le capteur est stabilisé, il peut bouger assez fortement.

Ils expliquent et ils insistent qu’ils n’ont fait aucun compromis sur la qualité des images pour faire cela. Donc ici, ils vont nous montrer pas mal de démos. Avec le XF56 mm f/1.2, vous allez voir stabilisation vs sans stabilisation. Alors, gardez à l’esprit que tout cela, ce sont des vidéos fournies par Fujifilm, mais quand même c’est assez impressionnant. On voit très bien que d’un côté cela vibre énormément et que de l’autre côté, on est parfaitement nette. Il n’y a pas photo, je pense.

Là, ils montrent les différentes photos qu’ils sont arrivés à prendre. On s’aperçoit quand même que le piqué diminue. Si vous regardez la différence de piqué entre 1/40e de secondes et 0,8 seconde, on voit que le piqué quand même a bien diminué, mais clairement la photo reste utilisable.

En vidéo évidemment avec un XF16-55, un objectif qui n’est pas stabilisé, évidemment la différence, elle est marquante. D’un côté, on voit les tremblements qui sont dus aux déplacements et de l’autre, on ne les voit quasiment pas. C’est assez net et toutes les démonstrations qui suivent viennent renforcer cette idée-là.

C’était les sept histoires de développement. On a vu pour rappel les deux cadres, les deux sur le cadre. On a vu le fait qu’au niveau de la tropicalisation, ils ont vraiment fait beaucoup d’efforts. On a vu la simulation ETERNA. On a vu l’autofocus et on a vu enfin le capteur stabilisé.

J’espère que cela vous a intéressé. Si c’est le cas, comme d’habitude, lâchez-moi les deux pouces levés vers le haut. En complément de cette vidéo, vous êtes libre de recevoir le guide de démarrage du fujiste débutant en cliquant sur les 12 conseils qui sont juste là. N’oubliez pas de vous abonner à la chaîne pour ne pas louper les prochaines vidéos.

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À bientôt sur la chaîne !

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Damien BERNAL

Je m’appelle Damien BERNAL et j’ai créé ce blog pour partager ma passion avec vous.  Sony avec sa gamme Alpha a créé un univers très riche et nous allons l’explorer ensemble. Les articles sont la pour répondre à vos questions.

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